11 séries à voir en 2022 : Société & Féminisme

Le dernier article série remonte à plus d’un an, et comportait 25 séries à voir exclusivement sur Netflix. Il s’agit en effet de la plateforme qui comporte le plus d’utilisateurs, et comme je connais pas mal de personnes qui regardent uniquement des séries disponibles sur Netflix, je tenais à en faire une sélection. Je dois évidemment la mettre à jour car depuis j’en ai vues d’autres, comme Outlander que j’ai commencée à sa saison 4 soit très tard !

Cette obsession Netflix c’est quand même dommage, car les meilleures séries ne s’y trouvent pas forcément, évidemment c’est un budget, je suis abonnée à 5 plateforme parce que le cinéma reste ma passion, mais si vous ne tenez pas à dépenser d’argent, avec un peu ténacité le piratage reste une option très valable. En tout cas n’hésitez pas aussi à profiter des périodes d’essai, par exemple pour Physical et Severance dont je parle ci-dessous, ce sont des séries Apple TV et 7 jours peuvent suffire à voir les deux.

Si c’est trop court, on parle d’un abonnement à 5 euros par mois sans engagement, vous pouvez aussi faire comme moi et vous abonner pour un seul mois le temps de regarder le film ou la série. Un mois d’abonnement sur une plateforme ne coutera pas plus cher qu’une place de cinéma, et au vu de l’offre cinématographique depuis quelques mois…

Severance – 5/5

Synopsis allociné : Mark Scout travaille pour Lumon Industries, où il dirige une équipe dont les employés subissent une opération chirurgicale de séparation entre leurs souvenirs liés à leur vie professionnelle et ceux liés à leur vie privée. Cette expérience risquée de l’équilibre entre travail et vie personnelle est remise en cause lorsque Mark se retrouve au cœur d’un mystère qui le forcera à affronter la vraie nature de son travail… et la sienne.

Je me sens particulièrement stupide d’avoir longtemps réduit Ben Stiller à un acteur de comédies trop potaches. Lorsque j’ai vu son premier film, La vie secrète de Walter Mitty, je suis restée un peu sur le cul, il avait réussi à transmettre tant de poésie avec une simplicité presque parfaite. Exactement comme je l’aime, un film qui te fait rêver, et réfléchir, qui te fait sourire sans t’abrutir.

Severance qu’il crée et réalise près de 10 ans plus tard, est déjà en passe d’être un monument des séries, j’ai trouvé la série grandiose. Grandiose dans le constat qu’elle pose et qu’elle questionne, dans sa remise en cause du capitalisme et de ses conséquences sur les individus. Grandiose dans sa façon d’illustrer des questions fondamentales, philosophiques, grandiose dans sa progression qui te tient en haleine avant de t’envoyer valser avec un final comme je n’en avais pas vu depuis longtemps.

Pour tout vous dire je suis tellement emballée et subjuguée par une science fiction si maitrisée, si subtile que je peux en avoir les larmes aux yeux, celles provoquées par le génie quand j’ai l’impression que j’y assiste.

Oui la série impose une lenteur dans ses premiers épisodes qui peuvent donner la sensation de devoir faire un léger effort, mais au milieu elle prend un tournant qui fait qu’on ne pense plus jamais au temps qui passe.

Foncez. Beaucoup de personnes pensent ne pas aimer la science fiction, parce qu’on l’associe souvent aux films un peu bêtes et méchants de SF ou à des gros block busters, parce qu’au cinéma ils se risquent peu à en faire de la bonne, et parce que parfois on ne sait pas l’accueillir car on la confond justement avec un film d’action cliché (cf Matrix, très mal reçu par la critique à sa sortie), ou ils enfoncent des portes ouvertes très maladroitement.

Alors qu’un film de science fiction, dystopique ou non, est avant tout un film qui questionne la vie, la société, nos moeurs et modes de vie. C’est avant tout une satire, et ça Ben Stiller nous montre qu’il maitrise parfaitement.

Vous apprécierez les vibes Michel Gondry (Eternal Sunshine, oui voilà on est dans cette science fiction là !).

Mrs America – 5/5

Synopsis allociné : États-Unis, années 1970. Avocate et mère au foyer modèle de six enfants, Phyllis Schlafly est également une activiste conservatrice. Lorsqu’elle prend la tête du mouvement pour empêcher la ratification de l’amendement qui vise à garantir l’égalité des droits entre les sexes, elle déchaîne la colère des féministes, emmenées par leurs leaders, Gloria Steinem et Betty Friedan…

D’après une histoire vraie.

Un chef d’oeuvre, que je ne noierai pas sous une masse de commentaires inutiles.

Stupéfiant, intelligent, et si incarné.

L’affiche ne sert pas la série que vous devriez toutes (et tous) regarder sans exceptions ! Elle fait partie de ces séries qui me donneraient envie d’enfermer les gens de force pour qu’ils la regardent :D

Mrs. America, Série d’une seule saison disponible sur Canal +

L’amie prodigieuse – 4/5

Synopsis Allociné : Quand la plus vieille amie d’Elena Greco semble avoir disparu sans laisser de trace, cette femme férue de littérature décide d’écrire l’histoire de leur amitié. Sa rencontre avec Raffaella Cerullo, qu’elle a toujours surnommée Lila, remonte à leur première année d’école primaire en 1950. Une amitié de plus de 60 ans, avec pour toile de fond la dangereuse et fascinante ville de Naples, que le destin et les décennies tenteront de mettre à mal, alors que les deux amies finiront par prendre des chemins différents dans la vie.

Adaptée d’un roman à succès, je ne saurais faire de comparaison avec le livre que je n’ai pas lu. L’autrice participe directement au projet, ce qui me laisse penser que l’adaptation est bonne.

Au delà du livre, cette série est d’une grande qualité, tant au niveau de la réalisation, du jeu, qu’au niveau des actrices. Nous suivons les personnages sur 3 temporalités, et sur une longue période de vie, ils ont ainsi dû caster 3 actrices différentes pour chaque époque. Et à chaque fois, sauf peut-être pour Lenu adulte – pour laquelle je ne sais pas si c’est la personnalité de l’autrice qui me pose problème ou l’interprétation – ils ont visé juste, les actrices qui interprètent Lila sont particulièrement captivantes. Dans la première saison on les suit lorsqu’elles sont enfants, dans la deuxième adolescentes et enfin lorsqu’elles deviennent adultes.

Il n’est pas toujours évident de suivre une série qui se déroule sur tant d’années, avec des acteurs qui changent forcément, mais l’intérêt de la série, de l’histoire, et sa justesse, nous tiennent en haleine. Et dès la saison 2 les actrices ne changent plus.

Toute la série se déroule sur fond de féminisme et de lutte sociale, dès leur enfance on fait face à 2 petites filles d’une grande intelligence mais qui sont déjà compromises par leur position sociale et leur condition de future femme. C’est une de ces séries qui ont un vrai intérêt historique et pédagogique, comme beaucoup de séries d’époque actuelles : De Anne with a E, à Outlander, en passant par Dickenson, Mrs Maisel, il y en a trop pour toutes les citer… mais certains enjeux de société sont parfaitement décrits par les fictions qui se développent de plus en plus autour de personnages féminins. Dommage que les hommes soient généralement trop conditionnées pour cliquer par eux même sur une fiction avec une femme pour personnage principal.

Dans la saison 3 que j’ai beaucoup appréciée (elle a mis 3 ans à sortir à cause du covid) on y parle du mouvement de libération des femmes en Italie, et le personnage principal Elena étant romancière et découvrant les enjeux du patriarcat, elle y dépeint des sujets exactement comme on le fait encore en 2022. Avec parfois une finesse à laquelle on peut ne pas s’attendre au vu de l’époque. La seule différence est qu’aujourd’hui on est plus écoutées et on a plus d’impact, mais le sentiment de solitude et de colère propre aux femmes, lui, traverse les époques, sans même s’éroder. C’est d’ailleurs cette frustration qui traverse les générations, qui nous donne cette force collective, comme on ne l’avait encore jamais vue chez nos ainées, qui elles avaient tant à perdre.

En matière de féminisme quand on débute on a presque l’impression de découvrir des secrets, comme si des révélations nous apparaissaient. C’est pareil pour le climat, alors que des personnes tiennent exactement nos propos depuis les années 70, cela nous montre à quel point il est difficile de faire avancer nos luttes, et de les démocratiser. Encore aujourd’hui il y a une scission si forte entre les femmes qui savent, et les autres, qui constituent encore la grande majorité.

L’amie Prodigieuse HBO disponible sur My Canal, probablement sur HBO où le mois d’essai est gratuit, ou sur les sites de streaming – 3 saisons, saison 4 à venir

Physical – 4/5

Synopsis Allociné (attention résumé très réducteur): Années 1980, sur la côte californienne. Une femme au foyer dépressive retrouve l’énergie physique comme mentale grâce à la pratique en vogue de l’aérobic !

J’ai regardé Ted Lasso sur Apple TV, et j’ai eu un énorme coup de coeur, cela faisait bien longtemps que je n’avais pas trouvé une comédie si novatrice, bien écrite et originale. The morning show saison 1 m’avait déjà montré qu’Apple n’allait pas rigoler avec ses propres séries.

J’ai donc voulu donner leur chance à d’autres séries Apple TV, et là que vois-je, il s’agit à nouveau de l’actrice Rose Byrne qui incarne la plus grosse figure féministe dans Mrs America. Je suis fascinée par cette actrice que je trouve sublime et d’un charisme incroyable.

La vibe 80’s avec ses tenues de gym en spandex et l’esthétique de la série, qui peut faire penser à la série Glow (Netflix) impossible de ne pas la regarder ! Si au début on se demande où on va, au milieu de la saison 1 on commence à comprendre, à se dire qu’il y a du potentiel, et à la fin de la saison on est satisfaits de la direction que prend la série et qui se confirme dès la saison 2 sortie le mois dernier. Ils la vendent comme une comédie mais on est clairement sur une comédie dramatique, qui malgré ses épisodes de 30 minutes abordent de façon assez intéressante les troubles alimentaires. Sur fond d’inceste.

Avant de vous lancer il faut savoir que la série tourne autour de ce sujet, de la pratique du sport dans le cadre de troubles alimentaires, ce qui n’est pas dit dans le résumé. A vous de juger <3

En tout les épisodes mériteraient largement de faire 45 mn.

Dickinson – 2,5/5

Synopsis allociné : Dans le contexte d’un Amherst du milieu du 19ème siècle, Emily Dickinson est bien décidée à devenir la plus grande poétesse du monde et à triompher des contraintes sociales et familiales. Ce récit sinistrement comique, d’une jeune fille devenant femme, revisite de façon moderne la vie d’une des figures littéraires américaines les plus intrigantes.

Je n’ai mis que 3 étoiles car elle est reste une série assez moyenne. Elle plaira à certains d’autres la détesteront. Il faut aimer l’anachronisme voulu par la réalisatrice tant au niveau du langage des personnages, de leurs attitudes que de la bande son très rock et bruyante.

Je l’ai regardée car je n’avais aucune série en cours et qu’il s’agit d’une série historique autour d’une poétesse mondialement connue du 19° siècle.

La réalisatrice a choisi d’incarner le côté onirique de Emilie et son rapport obsessionnel à la mort, par une mise en scène fantastique un peu farfelue, ce qui donne une série qu’on sent qu’elle a été épicée pour séduire les jeunes et leur donner envie de s’intéresser à une femme poète morte depuis 2 siècles.

Au vu de la masse de contenus et de séries stupides sans fond, de remakes de moins en moins qualitatifs de séries déjà existantes, destinées à séduire les jeunes, je comprends parfaitement ce choix, et j’ai envie de dire « pourquoi pas ». Les séries intéressantes vont bientôt demander le même effort que pour lire un livre.. donc bon, je préfère ce genre de petite tricherie qu’un remake de Gossip Girl.

Passé le dérangement au début causé par les choix de mise en scène, j’ai fini par regarder les 3 saisons sans ennui aucun, et j’aurais bien aimé qu’elle continue. S’agissant de l’histoire d’une femme poète, considérée différente et très étrange, il y forcément une question féministe et moderne qui traverse la série et je crois que c’est ce que j’ai le plus aimé.

On y voit notamment la facilité avec laquelle on pouvait interner sa femme/fille/mère en HP, c’est terrifiant. Il y a une histoire d’amour entre deux femmes, ce qui semble être une liberté prise par la réalisatrice.

En effet on a malheureusement très peu de sources sur la vie d’Emilie Dickinson, donc la série a forcément dû prendre des libertés, et le précise très clairement au début de la saison 2, le savoir m’a souvent frustrée.

(En ce qui concerne l’internement des femmes dans le passé, je vous recommande chaudement le film « Le bal des folles » de Mélanie Laurent sur Prime Video)

Disponible sur Apple TV – 3 saisons, série terminée.

SOLO – 3,5/5

Synopsis wikipédia : Solos met en avant des histoires uniques, chacune racontée du point de vue d’un personnage et à une période différente, qui invite à réfléchir et explore le sens profond du lien humain à travers le prisme de l’individu.

Comme souvent avec les séries Prime Video, on a peu de communication en France même quand ils sortent des petite pépites avec des acteurs incroyables, non mais vraiment on parle d’une brochette qui rend presque inexplicable que cette série ne soit pas connue !

Morgan Freeman, Anne Hathaway, Helen Mirren (coup de coeur pour son épisode),  Anthony Mackie (Falcon dans Avengers), Uzo Aduba (Orange is The New Black, Mrs America) et d’autres visages que vous reconnaitrez.

Chaque épisode est réalisé par une personne différente, dure 25 minutes, comporte un seul personnage (ou presque) et constitue un huis clos autour de l’individu.

Les séries qui proposent des épisodes sans aucun lien les uns avec les autres peuvent parfois me déranger, parce que souvent d’un épisode à l’autre la qualité diffère beaucoup selon l’axe choisi. C’est forcément aussi le cas ici, l’épisode avec Freeman m’a laissé dubitative et certains ont quelques longueurs mais si on est sensible au jeu d’acteur on s’y retrouve.

Certains vont la comparer à Black Mirror, à tort. Black Mirror c’est de la science fiction un peu grossière, légèrement anticipative qui traite surtout les dangers des nouvelles technologies, les épisodes sont divertissants mais assez attendus et je suis rarement subjuguée par l’axe pris par les épisodes. Il y a plus d’action, moins de silence et de temps mort, pas de place à l’acteur et à son jeu. Solo peut déplaire de par sa simplicité, le but n’étant pas de vous pondre des laïus philosophiques complexes, mais simplement de vous donner des pistes de réflexions. Le voyage dans le temps est rarement abordé comme l’est le premier épisode de la série avec Anne Hathaway

Avec Solo, malgré des épisodes de 30 minutes qui ne permettent pas d’approfondir le sujet, à la fin je me vois rester quelques minutes en silence, parce que la majorité des épisodes est parvenue à générer ce sentiment si particulier, celui d’avoir été touchée au coeur, à la tête, celui qui te demande de reprendre légèrement tes esprits avant de passer à autre chose. Ce sentiment d’être si émue par des questionnements pourtant si simples, que nous avons tous eus au moins une fois au cours de nos vie. Le parisien trouve la série complètement ratée et d’un ennui profond, je continue de penser que c’est parce qu’il y a peu d’action et que nous ne sommes pas habituées à nous concentrer sur l’humain et son ressenti. Un ressenti sur son existence doit-il forcément être intelligent ? Si justement le but est de mettre en avant l’introspection individuelle et le rapport à la solitude et au temps, pourquoi voudrait-on divertir le public en mettant trop d’idées dans les textes, trop d’actions ?

Seule des acteurs hors du commun peuvent incarner ce genre de personnages, rien que pour ça, Solo vaut la peine d’être essayée.

Certains épisodes sont bouleversants, dans l’épisode avec Constance Wu, son monologue est d’une justesse terrible, d’autant qu’on ne sait pas du tout où cet épisode qui semble être le plus étrange de la série au prime abord, veut aller. Quand on devine où elle va, il est dur de rester de marbre, et de ne pas saluer sa prestation, j’aurais presque envie de le traduire pour le travailler à mon tour, c’est clairement ce que j’aime jouer au théâtre.

Sont ainsi abordés des thèmes propres à la vie, la mort, l’après, l’éternité, le souvenir, …, entre les sujets, les axes pris, les acteurs, je suis ravie de ma petite trouvaille. Si tout va bien elle sera connue dans 2 ans, Fleabag et Mrs Maisel ont mis du temps à être populaires en France justement parce qu’Amazon s’en fout de communiquer sur ses séries en France, enfin je suppose !

Série d’une seule saison, sur Amazon Prime Video, compris dans l’abonnement.

Dick’s electric dream – 2,5/5

Synopsis : Une série d’anthologie qui trouve sa source dans les nouvelles de l’auteur de science-fiction Philip K. Dick, auquel l’on doit des succès comme Blade Runner, Total Recall, Minority Report ou Planète hurlante.

On pourrait me demander « mais pourquoi » je regarde des trucs sortis de nulle part. Je vous répondrais que quand je vois :

1. Histoires de l’auteur de Minority Report
2. Bryan Cranston (Malcolm, Breaking Bad) produit la série et joue dans un épisode
3. Des acteurs de séries de qualité, de Empire à Game of thrones

… et bien j’ai tendance à être curieuse !

Je pense que la série a été mal reçue par la critique car ses épisodes sont si inégaux, au point que je ne savais vraiment pas dans quel ordre les regarder, et que certains m’ont fait un peu chier. Je ne l’aurais pas regardée si j’avais eu des séries en cours je pense. L’épisode avec Juno Temple (Ted Lasso) est chouette, celui sur les « terroristes » également, celui avec Bryan Cranston (malgré son air de Star Trek…), d’autres sont moins intéressants et parfois un peu grossiers.

Une seule saison était prévue, inclue avec l’abonnement sur Prime Video.

Les séries Netflix

J’ai aussi quelques séries Netflix à ajouter mais je vais mettre leur détail directement dans l’article dédié.

After life – 5/5

Synopsis Allociné : Tony avait une vie parfaite, mais lorsque sa femme Lisa meurt soudainement, Tony change. Après avoir envisagé de se suicider, il décide plutôt de vivre assez longtemps pour punir le monde entier…

Umbrella Academy – 3,5/5

Synopsis Allociné : En 1989, le même jour, quarante-trois bébés sont inexplicablement nés de femmes qui n’étaient pas enceintes et que rien ne relie. Sir Reginald Hargreeves, un industriel milliardaire, adopte sept de ces enfants et crée The Umbrella Academy pour les préparer à sauver le monde. Mais tout ne se déroule pas comme prévu. Les enfants devenus adolescents, la famille se désagrège et l’équipe est dispersée. Les six membres toujours en vie, désormais trentenaires, se retrouvent à l’occasion de la mort de Hargreeves. Luther, Diego, Allison, Klaus, Vanya et Numéro Cinq travaillent ensemble pour résoudre le mystère qui entoure la mort de leur père. La famille désunie se sépare cependant de nouveau, incapable de gérer des personnalités et des pouvoirs trop différents, sans même parler de l’apocalypse qui menace…

Sense 8 – 4/5

Synopsis : Huit individus éparpillés aux quatre coins du monde sont connectés par une soudaine et violente vision. Désormais liés, ils se retrouvent capables du jour au lendemain de se voir, de se sentir, de s’entendre et de se parler comme s’ils étaient au même endroit, et ainsi accéder aux plus sombres secrets des uns et des autres. Les huit doivent dès lors s’adapter à ce nouveau don, mais aussi comprendre le pourquoi du comment. Fuyant une organisation qui veut les capturer, les tuer ou faire d’eux des cobayes, ils cherchent quelles conséquences ce bouleversement pourrait avoir sur l’humanité.

Il y a également Outlander mais je l’ai commencé 4 ans après sa sortie et je pense qu’elle est très connue !

Voilà voilà, des bisous !